---> Participation à divers stages nationaux
C'était en 2015:
La dixième édition de Jap and Trégor s'est déroulée hier à l'Enssat. Le public est venu en nombre participer aux ateliers ou assister aux démonstrations proposées par les passionnés de la culture japonaise. Jeux traditionnels, arts martiaux, jeux vidéos, karaoké et mangas étaient réunis pour illustrer les multiples facettes de la culture japonaise. De multiples arts martiaux Au Japon, où l'on pratique le sabre depuis 3.000 ans, 10 à 15 millions de personnes le manipulent. Son enseignement est d'ailleurs obligatoire dès l'école primaire. Sant Eganton Budokaï a initié le public à deux arts martiaux complémentaires : Iaï-do (l'art de sortir le sabre) et batto-do ( l'art de couper). L'association enseigne également le kendo (l'escrime japonaise), qui se pratique avec le shinaï (arme d'entraînement en bambou maintenu à deux mains) et le jo-do (art du bâton de combat). Les visiteurs ont même pu s'essayer à des combats de sumo.
La Japan Trégor n'a pas eu lieu en 2016
Ouverture de l'école des cadres du Breizh Budokaï Dojo
en Kendo Iaido Naginata Jodo Batto-do et Ji-eï
Pour tout renseignement : Kadouriad Renan ALIX
Penn Stummer Alan Ar Gad
Le Dojo est ouvert lundi, mardi, mercredi, jeudi et samedi
Tout pratiquant passant par chez nous est le bienvenu
Des membres du Dojo à la Japan expo de Paris.
Travail du Dojo pour la saison
Kata Kendo Iaï-do Naginata Jodo
Kata ITTO RYU
Préparation aux examens
Kendo 1er kyu Shodan
Jodo 1er kyu Shodan et Nidan
Naginata 1er kyu Sandan
Iaï-do 1er kyu Yondan
Les tribunaux
Arts martiaux : le Conseil d'Etat annule le monopole fédéral des
«dans».
Un arrêt du Conseil d'Etat en date du
28 janvier a annulé la réglementation en matière de grades sportifs dans le
domaine des arts martiaux. Saisi par le Syndicat national des professeurs d'arts martiaux, le Conseil
d'Etat a annulé le décret n° 93-988 du 2 août 1993 conférant aux fédérations
délégataires de ces disciplines le monopole de la délivrance des
«dans» sanctionnant la valeur sportive des pratiquants. Certes,
rappelle le Conseil d'Etat, l'article 17 de la loi sur le sport
stipule qu'une seule fédération reçoit délégation de l'Etat pour
«organiser les compétitions sportives à l'issue desquelles sont
délivrés les titres internationaux. nationaux, régionaux ou
départementaux et procéder aux sélections correspondantes».
Mais, ajoute-t-il, les dans «ne
constituent pas des titres» tels que prévus par la loi, et le gouvernement ne dispose donc pas du
pouvoir «de conférer aux fédérations délégataires le droit exclusif d'attribuer ces titres
sportifs».
160 arts martiaux recensés en France.
Le MJS a recensé 160 pratiques d'arts
martiaux en France. Aux côtés des pratiques reconnues, authentiques
et réglementées, dont les plus importantes sont le judo (500 000
licenciés); et le karaté (200 000),figure un large éventail de
pratiques représentant autant d' «écoles», de «styles», de
«maîtres», voire de sectes (un cas a été
qualifié comme tel par la justice). Le MJS a lancé ce travail de
recensement afin d'y voir plus clair dans cette situation
particulièrement complexe, d'aider l'usager dans son choix(garanties
techniques et morales) et de renseigner les collectivités sur
l'identité de ces pratiques, face aux sollicitations qui leur sont
adressées (pour l'organisation de manifestations ou l'hébergement
d'associations, par exemple). On relève dans cet inventaire des
activités comme l'aikiken,le budo zen, l'escrima kali, le hakkoryu,
le jeet kune do, le ken jutsu, le ki nu kenkyukai, le mushin, le
sakura, le tang lang, le varma kalai, le wou wu...
Le MJS a entrepris de rassembler
les plus authentiques par grandes familles administrativement
rattachées soit à la FF judo, soit à la FF karaté. Le karaté a
par exemple accepté la constitution auprès d'elle d'une «Union des
arts martiaux chinois», qui doit néanmoins conserver son autonomie
et ses spécificité. Un autre,exemple est celui de l'aikido, qui
compte trois fédérations, dont une seule traite avec le MJS, qui
espère que les deux autres la rejoindront. Ce travail de mise en
ordre est à distinguer de celui entrepris dans les boxes (kick
boxing, full contact, boxe taï, etc., voir La Lettre du 17 avril ).